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La réinsertion des détenus et la création vidéo
Abolir les barrières entre dehors et dedans,inclus et exclus, présent et passé, savoirs formels et informels, contribue à former et à réinsérer des personnes en difficulté.
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Un passeport pour de nouvelles représentations
Physiques ou psychiques, les addictions sont de plus en plus sévères et multiples.Elles nécessitent de nouvelles approches, transversales, des soins comme de l’accompagnement des patients et de leurs proches.
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L’écriture créative au service de l’inclusion
En 2014, l’association St-Clémentin LitFest ouvre, à travers son projet European Litfest, ses ateliers d’écriture aux personnes en situation d’illettrisme, d’isolement ou d’exclusion. L’idée du projet est de créer une méthode d’apprentissage ludique basée sur l’écriture.
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Former les migrants aux compétences inclusives
À leur arrivée en Europe, les migrants font face à de multiples obstacles : difficultés financières, problèmes de santé, ignorance de la langue et des codes culturels, absence de compétences formelles ou difficultés à les faire connaître...
Découvrir le projetInsup Formation s’est associé à quatre autres partenaires européens issus de pays disposant d’une frontière sur la Méditerranée. Objectifs : créer un référentiel des compétences nécessaires à l’inclusion des personnes migrantes et concevoir des modules de formation destinés à développer ces compétences.
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Les bons contes font les bons amis
Né de la rencontre de cinq doctorantes en psychologie originaires d’Argentine, du Brésil, du Cambodge, de Hongrie et du Mali, l’association Élan interculturel facilite la communication entre des personnes d’origines différentes. Son projet « Aladdin, intégration par le conte » forme des retraités bénévoles à l’animation d’ateliers de contes destinés à enseigner de manière ludique les bases de la langue nationale aux migrants et aux nouveaux arrivants.
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Professionnaliser l’économie solidaire
Si proches et si lointaines. Ce ne sont pas seulement les montagnes qui départagent les Hautes-Alpes du Piémont turinois. Mais deux façons de pratiquer l’économie sociale et solidaire. 18 salariés et bénévoles (administrateurs, directeurs, encadrants, coordinateurs) issus de sept structures françaises d’insertion par l’activité économique en ont fait l’expérience positive, en s’immergeant dans une collectivité et des coopératives sociales de la région de Cuneo. « Malgré notre proximité géographique nous ne connaissions le modèle de ces coopératives qu’en surface, indique Myriam Jamal, directrice du Collectif des actions d’utilité sociale des Hautes-Alpes. D’où le lancement, en 2015, du projet Epicoopi, destiné à faire de l’échange de pratiques et d’idées sur tout ce qui touche à l’insertion des personnes éloignées de l’emploi ».
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De nouvelles pratiques dans les centres sociaux
L’Europe vécue activement a plus d’impact qu’un discours… C’est l’expérience qu’ont faite 72 bénévoles et salariés de la Fédération des centres sociaux et socioculturels de France partis en immersion à Berlin, Liège, Londres, Lleida ou Stockholm. « Nous avons pris le parti d’envoyer des personnes impliquées dans l’éducation, exerçant dans différentes régions, afin qu’elles enrichissent leurs réflexions et leurs pratiques et les fassent rejaillir sur l’ensemble du réseau national », déclare Patricia Brenner, chargée du développement au sein de la Fédération.
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L’insertion des jeunes : se bouger pour faire bouger
70 salariés de la Fondation Apprentis d’Auteuil ont suivi des séminaires collaboratifs ou réalisé des stages d’observation en Europe avec pour objectif de découvrir des pratiques d’insertion sociale différentes. Leurs séjours d’immersion effectués en Allemagne, en Espagne, en
Découvrir le projetItalie et au Royaume-Uni ont déclenché une onde positive chez eux qui a changé leurs manières de travailler et ce dès leur retour.
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Des tuteurs mieux formés pour des apprenants mieux accompagnés
Chaque année, la Fédération régionale des familles rurales des Pays de la Loire forme par voie d’alternance des dizaines d’apprenants aux métiers de l’action socioculturelle (animateurs, coordinateurs, directeurs d’association). Le projet Key Tutors vise à construire des outils d’évaluation et d’accompagnement destinés aux professionnels des associations et collectivités locales d’accueil qui assurent le rôle de tuteurs.
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L’éducation informelle, l’estime de soi et des autres
Treize formateurs de la Ligue de l’enseignement ont rencontré des intervenants britanniques et suédois sur des enjeux communs : comment valoriser des compétences nées de situations de vie difficiles, liées au chômage, aux addictions, à la prison, à l’exclusion ? Comment faire essaimer de nouvelles façons de collaborer et identifier des compétences acquises dans un contexte d’éducation informelle ? Les mobilités organisées visaient à explorer deux méthodes complémentaires : les cercles de coopération (study circles) et les blasons de compétences (open badges).
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